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1 novembre 2009 7 01 /11 /novembre /2009 10:23

 

Les dirigeants des pays de l'Union Européenne, réunis en sommet le jeudi 29 octobre, ont accepté d'accorder à la République Tchèque la dérogation qu'elle exigeait pour ratifier le Traité de Lisbonne. L'un des ultimes remparts à l'entrée en vigueur du Traité vient donc de tomber.


"Le dernier obstacle politique à la ratification du Traité de Lisbonne a été levé", a déclaré M. Barroso au cours d'une conférence de presse. "La route de la ratification est maintenant ouverte", a ajouté l'actuel Président de l'Union, le Premier Ministre suédois Fredrik Reinfeldt.

 

 

 

La République Tchèque était le dernier Etat membre de l'Union Européenne à faire de la résistance au Traité de Lisbonne. Le Parlement tchèque avait certes adopté la loi autorisant la ratification du traité simplifié le 6 mai dernier, préalable nécessaire à la ratification effective du texte. Mais il manquait encore le paraphe du chef de l'Etat Tchèque, Vaclav Klaus, réputé eurosceptique. Au lendemain du référendum irlandais du 3 octobre, qui s'est révélé favorable au traité européen, M. Klaus avait en effet posé une nouvelle condition à sa signature : il souhaitait que son pays bénéficie d'une dérogation à la Charte Européenne des Droits Fondamentaux, une des composantes du Traité, à l'image de ce qu'avait obtenu en 2007 le Royaume-Uni et la Pologne.

Concrètement, cette dérogation a pour but d'empêcher que les Allemands de la région des Sudètes expulsés en 1945 puissent obtenir réparation. Il avait assuré,avant le sommet réunissant les chefs d'Etats, qu'il ne s'opposerait plus à signer le Traité de Lisbonne s'il obtenait satisfaction. Ceci est désormais chose faite.

 

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24 octobre 2009 6 24 /10 /octobre /2009 18:02



Le prochain Conseil National de l'UMP se tiendra à Paris, le samedi 28 novembre 2009.

Je ne manquerai pas, en tant que Conseiller National UMP du 16ème Arrondissement de Paris, de vous tenir au courant et de vous faire un synthèse de cette réunion.




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24 octobre 2009 6 24 /10 /octobre /2009 16:04


Le collectif pour la défense du Stade Jean-Bouin Omnisports et de son environnement a organisé une première grande manifestion contre la destruction du stade qui débutera en janvier 2010. Le projet, voté au Conseil de Paris, prévoit à la place de l'infrastructure actuelle un stade moderne destiné à accueillir dans de meilleures conditions le club de rugby du Stade Français qui joue ici depuis les années 1930.

 

Ce projet de reconstruction du Stade Jean Bouin suscite une vive opposition tant des élus, que des habitants et des usagers des installations sportives.

 

Sur le fond, la cause a été rappelée avec précision par Jacques Lelièvre, le Président du club Jean Bouin : "aucun des arguments municipaux pour dépenser au minimum 200 millions d’euros afin d’abriter moins de 10 rencontres annuelles de rugby professionnel ne tient la route. Le Stade Français mérite un vrai stade, mais lorsque je regarde le stade du club de Bath, que le Stade français a battu récemment avec un vrai courage, je constate que même le plus vieux club anglais et le plus titré aurait besoin d’un nouveau stade. Une seule tribune couverte. C’est vrai qu’il ne pleut pas en Grande Bretagne". 

 

Le Président a précisé qu'on pouvait offrir un stade digne de ce nom au Stade Français pour nettement moins cher à Charléty ou au Parc des Princes ou bien se contenter d’une rénovation beaucoup moins lourde du stade actuel. Du reste, le dossier pour les Jeux Olympiques de 2012 prévoyait cette dernière option.


Par ailleurs, la rentabilisation de l’investissement grâce à quelques milliers de mètres carrés de commerces et restaurants est une plaisanterie. Et cela d’autant plus que Colony Capital, propriétaire du PSG, veut faire la même chose au Parc des Princes pour rentabiliser son investissement. Cette opération serait un gouffre sans fond pour les contribuables parisiens, déjà malmenés par la  politique fiscale de Bertrand Delanoë.

 

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21 octobre 2009 3 21 /10 /octobre /2009 18:13


Malheureusement, Paris va connaitre une nouvelle hausse des impôts locaux. Son maire, Bertrand Delanoë, vient de confirmer, devant le Conseil de Paris, que cette augmentation sera toutefois "nettement moins lourde qu'en 2009" et qu'elle sera "la dernière avant 2014".



 

Pour mémoire, les habitants de la capitale ont déjà subis une hausse de 9% des taxes locales directes en 2009 (taxe d'habitation, foncier bâti et non bâti, et taxe professionnelle) et de 3% de la taxe foncière départementale.

 

Les Finances de la Ville de Paris sont exsangues car, faute de transactions immobilières, elles sont privées de la manne considérable des droits de mutations que la flambée de l’immobilier avait procurée ces dernières années : plus de 300 millions d'euros manquent cette année pour cet impôt invisible que tout propriétaire paie lors de l’achat de son logement.

Ce défaut de recettes fiscales issues des droits de mutation tombe bien mal alors même que les frais de fonctionnement de la municipalité ont connus une forte augmentation ces dernières années, avec notamment une hausse de la masse salariale de 20%.

 

 

 

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15 octobre 2009 4 15 /10 /octobre /2009 18:28


Chers Amis,

 

 

Le projet de rénovation du stade Jean-Bouin a tout simplement un coût exorbitant (environ 200 millions d'euros) pour les Finances Publiques, et donc pour le contribuable parisien, et ce alors qu'une dizaine de matchs sont joués par an.

 

Ce projet d'agrandissement, des infrastructures, qui serait financé exclusivement par des fonds publics, apparait inutile eu égard aux équipements existants. Par ailleurs, il ne prévoit aucune solution pour les utilisateurs amateurs, comme les écoles et les associations. Enfin, ce projet prévoit la suppression d’équipements sportifs existants.

 

Je vous invite, en conséquence, à vous joindre à la manifestation qui aura lieu le dimanche 18 octobre de 11h30 à 13h pour la sauvegarde du stade Jean Bouin. Le point de rendez-vous est fixé à l'entrée du stade.

 

 

Amicalement,

 

Guillaume Frerejean Taittinger



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11 octobre 2009 7 11 /10 /octobre /2009 08:59
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11 octobre 2009 7 11 /10 /octobre /2009 08:41

 

Le président eurosceptique Lech Kaczynski a signé samedi le traité, près d'un an après que celui-ci a été ratifié par le parlement polonais. Il ne manque désormais au texte que la signature de Prague, qui réclame une dérogation.

 

Le traité de Lisbonne est désormais suspendu à la ratification tchèque pour devenir applicable. La Pologne, l'avant dernier pays manquant, a ratifié samedi midi le traité européen. Cette signature intervient près d'un an après que le parlement de Varsovie a approuvé le traité de Lisbonne à une large majorité. Mais le président eurosceptique Lech Kaczynski s'était engagé à ne signer le texte que si les Irlandais se prononçaient en sa faveur, ce qui a été fait le 2 octobre lors d'un second référendum.




 

 

Lech Kaczinsky a apposé son paraphe lors d'une cérémonie à Varsovie en présence du président de la Commission européenne José Manuel Barroso. «Le changement de décision du peuple irlandais a fait que le traité a repris vie et qu'il n'y a plus d'obstacles pour le ratifier», a rappelé le président. «Je suis profondément convaincu que cette prochaine grande expérience sera un succès», a-t-il poursuivi. «Dans le cadre de la coopération entre Etats souverains, nous parviendrons à des résultats encore meilleurs. Lech Kaczinsky a également évoqué une Union européenne, ouverte à de nouveaux membres, dont les pays des Balkans et la Géorgie.

 

Paris a salué cette 26ème ratification soulignant qu'elle permettait d'espérer une entrée en vigueur «la plus rapide possible» du traité. Celle-ci n'attend plus que la ratification de la République tchèque. Le premier ministre suédois Fredrik Reinfeldt, dont le pays assure la présidence tournante de l'UE, a exhorté le président tchèque Vaclav Klaus à ratifier le texte. «L'Europe attend cela avec impatience», a-t-il déclaré. «Nous n'avons pas besoin de nouveaux retards».

 

 

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